Tarbes. Des chevaux rutilants au haras
Ce dimanche, les habituels pensionnaires du haras de Tarbes ont fait un peu de place à des chevaux, mécaniques ceux-là.
C’est devenu une habitude. Depuis plusieurs années désormais, les habituels pensionnaires équins du haras de Tarbes cèdent une fois par an un peu de leur majestueux terrain de jeux à d’autres chevaux tout aussi rutilants mais mécaniques. Un sublime garage à ciel ouvert dans lequel se sont précipités les passionnés de vieux bolides pour apprécier les vieilles cylindrées exposées, dont certaines étaient centenaires, comme cette Rochet-Schneider de 1923, d’autres plus rarissimes, comme cette Moss Monaco, dont il n’existe que 48 exemplaires dans le monde. Plusieurs dizaines de véhicules que le public a pris le temps d’apprécier, comme un saut dans le temps à toute allure.
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